95 km
5 h
600 m

Descripción
1- Parking
2- 3- 4- Senda
5- La Viñeta
6- S. Martín de la Val d’ Onsera
7- Senda de los Burros
8- 9- senda
10- Parking

1- Passé San Julián de Banzo, un détour à droite, indiqué par des panneaux, nous mettra sur la piste qui mène au parking, puis nous empruntons le chemin qui mène au ravin.
2- Une fois dans le ravin, nous remonterons son chenal sur des restes de gravier. Il y a un petit détour à gauche indiqué par un repère, qui monte d’abord sur le lit de la rivière puis y revient. (optionnel)
3 – Les murs se rétrécissent et le canal zigzague jusqu’à notre premier détour. Le chemin va vers la droite, indiqué par un grand repère, et monte par un ruisseau et une forêt pour atteindre un mur tendu (zone d’escalade). Peu après le croisement des chemins, nous prendrons celui qui va à gauche. L’autre sera utilisé dans la descente.
4- Maintenant, le chemin serpente et monte vertigineusement entre les arbres et les buissons, jusqu’à nous rapprocher du mur. Peint, une plaque et un détour balisé confirmeront que nous sommes sur la bonne voie.
5- Nous prendrons le chemin à gauche (La Viñeta) qui nous mènera au col. Une main courante et des mains courantes faciliteront l’ascension. Après le chemin est peu marqué mais les traces de la colline ne laissent aucun doute.
6 – Une fois en haut, dans le col, nous descendrons dans le ravin par un chemin qui sort à notre gauche. Lorsque nous atteignons le chenal, nous tournons à droite et nous retournons à l’ermitage.
7- De retour sur nos marches, nous reviendrons sur le col. En arrivant en haut, nous tournerons à gauche en direction de San Julián de Banzo – Llanos de Ciano, le long de Senda los Burros.
8- Sur ce chemin, nous allons descendre au carrefour où se trouvaient le graffiti et la plaque. Quelques mètres après le graffiti, il y a un petit sentier bien défini sur la gauche, qui pénètre dans une forêt où des peintures rouges sur les troncs nous mèneront au fond du ravin
9-A partir de là, un sentier bien tracé sur un pedriza et une moitié de colline nous laissera à un carrefour dans lequel nous tournons à droite (balisé) en descendant rapidement jusqu’au carrefour où se trouvait la zone d’escalade décrite ci-dessus.
10- Il ne nous reste plus qu’à revenir par le sentier, chemin du ravin et à monter sur le parking en retrouvant premiers pas.

Histoire et culture
Non loin de San Julián, au sud du Matapaños, à la base de quelques rochers qui attirent par leur apparence et dans la partie la plus profonde d’un ravin auquel on accède par une ouverture si étroite qu’il ne laisse pas deux hommes à l’avant, il ya un ermitage en l’honneur de San Martín, évêque de Tours. Je suis désolé je n’ai pas eu le temps d’aller voir cette chapelle située dans un endroit plein de mystère. De plus, nous devons laisser l’occasion d’explorer et de décrire ceux vers qui nous nous dirigeons maintenant. (Texte tiré des “excursions d’Aragon et de Navarre 1882”) SAINT-SAUD Dès que nous commencerons, nous descendrons pour entrer dans le ravin de San Martín. Entre des bojes, de la mousse, des oreilles d’ours, des fraises des bois et des mûres, nous monterons à travers le lit de gravure et nous serons entourés de roches calcaires. Normalement, le canal est sec, mais l’eau souterraine coule sous terre, qui apparaissent et disparaissent mystérieusement. En petite plaine faux nous trouverons une plaque commémorative très intéressante. Maintenant, les pins et les chênes verts sont mélangés avec la végétation précédente. Certains escaliers et cordes, comme s’il s’agissait d’une via ferrata, facilitent l’accès aux randonneurs et aux pèlerins. Déjà au sommet de la colline, l’arôme de la sarriette imprègne l’environnement et le calcaire cède la place aux impressionnantes masses de conglomérat. Sur la gauche, les murs se ferment presque complètement, comme si l’un se superposait. Cette partie est bien connue des canyons. À droite, un cirque nous montre où se trouve l’ermitage. Nous aurons une attention particulière lorsque nous serons à l’intérieur du ravin, car ses murs sont habités par des vautours fauves, des gypaètes, des vautours égyptiens, des marmites et des pigeons qui, en se posant et en se détachant, peuvent nous jeter des pierres. Nous veillerons également à ne pas marcher sur les tritons qui vivent dans le cours d’eau que nous devrons traverser, en utilisant les cailloux, afin de ne pas être mouillés. Selon certains auteurs, l’église rupestre de San Martin pourrait avoir des origines wisigoths, mais les premiers documents le nommant datent de 1075. Elle a servi de monastère et, en 1572, elle est restée en bon état entre les mains d’ermites. Au cours de la guerre civile, il a été mis à sac, ce qui a été assez détérioré au fil des ans et du châtiment de la guerre. Après une restauration laborieuse a récupéré une partie de sa splendeur

FICHE TECNIQUE